mardi 27 juillet 2010

ils m ont eue!!!je suis passée au bain

le collier de Marie -Jo

Marie Jo, tu as bien choisi!!
il est tres joli ce collier

entre ma maitresse et ma marraine




entre ma maîtresse et ma marraine!!!
LE BONHEUR

samedi 24 juillet 2010

NOTRE WEEK END ENTRE FILLES

WEEK END DE JUILLET





Vendredi soir : Que vois je, Maman Do prépare mon vanity, ma valise et la sienne. On va partir où. Pas ce soir, tout le monde se couche.



Samedi matin : Maman Do part comme d’habitude, elle reviendra toute à l’heure, elle sentira bizarre, elle aura été à la piscine. Maman Do est un accro à l’eau. Les valises sont là, mais tout se passe comme tous les week end. J’aurai pourtant cru.



Mais si, voilà Maman Do charge la voiture, me voilà à l’arrière dans mon panier, ma caisse est à l’avant. Au revoir Joël, super je pars avec Maman Do. Je suis sage à l’arrière, je regarde si je reconnais la route.



La voiture s’arrête, nous sommes chez Marraine super ! Maman Do me descend et je fonce vers la maison. Marraine est là. Mais qui est avec elle, Marie Jo. Elles l’appellent comme ça, Maman Do a l’air de la contente. Je lui saute dessus, et je l’embrasse. Elle répond à mes sollicitations. J’en oublie d’aller embrasser Marraine. Je saute, je saute. Marraine ne crie même pas. Elle a l’air très gentille la copine de Marraine. Je vais quand même embrasser Marraine. Et je retourne vers Marie Jo je sens qu’elle va être folle de moi.



Après mes embrassades, les humains peuvent se dire bonjour. Maman Do et Marie Jo vont chercher nos bagages, moi je reste avec Marraine. Je suis zen, Marraine saura me protéger et Maman Do revient vite.



Marie Jo me trouve charmante, j’ai fait le tour de la maison, mes gamelles sont là, les jouets aussi. Maman Do a installé ma caisse et mon panier. Et mon beau miroir est là. Vérification, oui je suis toujours la plus belle.



Elles se sont installées au salon, elles prennent l’apéritif. J’essaie de quémander, mais non pas de gâteaux apéritifs pour moi. Marraine veille et Marie Jo a l’air d’avoir les mêmes principes que Marraine. Je réessaierai….



Elles parlent, elles ont l’air de bien s’entendre. Mais qu’est ce qu’elles boivent ? Je goûterai bien, je m’approche des verres. Je sort ma petite langue, Marraine réagit vite, enlève le verre de ma portée. Maman Do et Marraine me grondent, pas d’alcool pour Everlyn. Marraine me tend le verre, je me précipite pour goûter, non je n’ai pas le droit, Marraine m’empêche de boire. D’ailleurs, elle a mis à ma disposition mes croquettes au saumon et de l’eau dans la cuisine. Maman Do et Marraine ont expliqué à Marie Jo que j’avais une alimentation spéciale pour mon joli pelage. Elles ont insisté sur l’odeur saumon, Marie Jo a vérifié et a bien reconnu la senteur. Marraine a regardé tout ça de loin, le poisson ce n’est pas son truc.



Mais je n’ai pas faim, je préfère essayer de boire leurs verres, mais malgré leurs papotages elles me surveillent. Rien à faire.



Elles passent à table. Je saute sur Marraine. J’avais oublié le principe de Marraine, pas de chien à table. Oh, oh Marraine gronde, Maman Do est bien contente, elle explique à Marraine que je n’arrête pas de sauter. J’essaie avec Marie Jo, mais elle aussi me repousse.



J’insiste, mais aucune ne me cède. Bon, je vais me coucher sur le fauteuil qui m’est réservé. Mais, il y a un nouveau canapé dans la salle, j’irai dessus plus tard. Il me semble que Marraine ne serait pas d’accord. Maman Do me surveille d’ailleurs. Il a l’air bien confortable ce beau canapé clair.



Elles parlent, elles parlent, j’en profite pour essayer de quémander. Mais non, rien à faire pas le droit de sauter à table. Ah les principes de Marraine….



Pourtant cela sent rudement bon, filet mignon pas pour les jolies rouquines où elles ont vu que c’était écrit dans les livres d’éducation. Mais qu’est ce que je sens, le fromage, mais j’aime le fromage. Toujours pas, on me renvoie sur mon fauteuil. Elles se régalent je le vois bien. Moi aussi je mangerai bien le rollot, fromage local. Marraine a visiblement préparé un repas picard pour Marie Jo.



Marraine a servi le dessert et prépare un café. Elles ont terminé de déjeuner, moi je n’ai toujours pas faim. Marraine a essayé de me donner quelques croquettes mais je mange du bout des dents.



Marie Jo et Maman Do lavent la vaisselle, elles veulent que Marraine se repose. Mais je regarde, je ne peux pas me mettre dans les pieds de Marraine, c’est Marie Jo qui lave. Je ne la connais pas encore assez, pour arriver à ce stade de confiance.

Marraine m’a pris dans ses bras, elle me caresse. Marraine est bien calme, Marie Jo et Maman Do lui disent de se reposer. Marraine doit se ménager. Je n’ai pas l’habitude de la voir si calme. Elle me caresse. Soudain, elle appelle Maman Do. Horreur, elle vient de voir une puce sur mon ventre. Mais elle ne peut pas l’attraper en me tenant dans ses bras. Maman Do n’y arrive pas. Maman Do parle d’un bain avec un shampooing anti-puces. Marraine décide cet après midi, on achète le bon shampooing et elle me donnera un bain.





La vaisselle est terminée. Marraine me met ma laisse, chic on va se balader. Nous voilà toutes les quatre dans la voiture de Marraine. Je trône derrière avec Maman Do. Marie Jo veut revoir la ville. Marraine trouve une place dans un parking souterrain. Je suis déjà venue avec Marraine en ville. Maman Do est un peu inquiète, elle trouve que je suis un peu nerveuse dans ce parking et se demande bien comment je vais réagir en centre ville un samedi après midi. Pour Maman Do je suis une fille de la campagne. Elle va voir si je ne sais pas comment je sais me conduire. D’ailleurs, elle devrait sans douter, Marie Jo, elle, a dit que j’étais une princesse. Elle a bon jugement.



Marraine me tient, elle a à cœur son rôle d’éducatrice. Elle va être fière de moi. Je monte couragement les marches. Voilà le jour, nous sommes dans une grande rue, il y a peu de monde et un peu de voitures. Marraine demande à Marie Jo ce qu’elle veut voir. Maman Do et Marraine trouvent un itinéraire. Je marche fièrement à côté de Marraine, il y a plein de nouvelles odeurs. Marraine me laisse aller, pas de marche au pied aujourd’hui. Marraine doit vraiment être malade.

Marie Jo est enthousiasme, elle trouve que la ville a bien changé. Nous voilà en plein marché, que de monde. Maman Do n’en revient pas, je suis calme et je me comporte très bien. Marraine surveille que personne ne marche sur moi. Je vois bien que les passants me trouvent particulièrement belles. Certains s’arrêtent pour demander ma race et vanter ma jolie couleur.

Maman Do s’énerve un peu car on me confond souvent avec un cocker ! Je suis un cavalier king charles de couleur rousse. Oui ce n’est pas courant.

Marraine décide de passer dans une rue plus calme pour rejoindre le palais de justice. Maman Do approuve, il faut m’acclimater doucement. Et pis, Marraine et Maman Do sont plus à l’aise en pleine campagne que le samedi après midi en centre ville. Marie Jo est enchantée de la balade, elle trouve la ville de plus en plus belle.



Mais qui vois je, un cavalier king charles blanc et roux, lui aussi m’a vu. Nos maîtres nous laissent nous dire bonjour. Il est bien entreprenant ce cousin, mais Marraine veille. Nos maîtres parlent et bien sûr je suis vraiment très belle….



Je traîne un peu, il fait chaud. Marraine cherche quelque chose. Voilà elle a trouvé, il y a de petits jets d’eau qui jaillissent du milieu de la rue. Elle s’approche et me tend un peu d’eau. Je m’approcherai bien, mais le jet d’eau est entouré d’une grille, je n’ose pas mettre mes pattes. Marraine est patiente, elle me donne l’eau dans sa main, je ne comprends pas tout de suite. Elle me mouille la truffe. Je lape un peu l’eau. Nous continuons la promenade, je vois d’autres petits jets d’eau dans la rue. L’exemple de Marraine fait des émules, les autres maîtres osent donner de l’eau à leurs compagnons à quatre pattes.



Mes compagnes ont chaud aussi, Marie Jo décide de s’arrêter à une terrasse de café, elle voit la plage. J’irai bien dire bonjour aux autres clientes, mais je préfère me mettre sous la table, une patte sur Maman Do, une autre sur Marraine et ma truffe sur le sac de Marraine. Je suis tellement sage que Marraine, Maman Do et Marie Jo m’oublie, elles parlent. Qu’est ce qu’elles sont bavardes. Moi je suis habituée au silence.



Sage, même le serveur ne me voit pas. Marie Jo me félicite et trouve mon éducation très réussie. Marraine et Maman sont très étonnées de ma bonne tenue.



Marraine a vu une collègue de Maman Do. Voilà, Maman Do me présente. Qui est la plus belle, la plus sage, d’une couleur incroyable. C’est EVERLYN. Mais oui, je suis la plus belle et je suis une vraie princesse avec sa cour.



Nous retenons chercher la voiture, pendant que Maman Do fait une course, Marraine montre une église et un jardin à Marie Jo. Marie Jo entre seule dans le jardin, les chiens ne sont pas admis. Deux gros chiens arrivent vers moi. Marraine a peur pour moi. Ils n’ont pas l’air très bien éduqués, ce n’est pas tocade et zaza. Mais tout se passe bien. Maman Do les a vu passer aussi, elle a eu peur aussi.



Redescente au parking, je suis toujours zen, Maman Do n’en revient pas.

Marraine et Maman Do discutent, elles n’ont pas acheté le shampooing. Marraine connaît une pharmacie encore ouverte. Elles me laissent dans la voiture avec Marie Jo, je pleure un peu mais Marie Jo me console. Les revoilà, Maman Do a un petit paquet dans les mains. Marraine ne veut pas de puces dans sa maison. Elle a bien vu que je me grattais pendant la balade en ville.



Retour maison, Marraine prépare le dîner. Je vais faire un petit pipi dans le jardin, j’en profite pour grignoter une cerise. C’est sympa le jardin de Marraine, il pleut des cerises et moi j’aime les fruits.



Maman Do explique à Marie Jo comment se servir de son téléphone. Il n’y a pas de jouet à grignoter sur le mobile de Marie Jo. Tant pis, j’en profite pour me faire les dents sur l’os de Zaza. Maman Do ne l’a pas oublié.



Marraine a vérifié, je n’ai toujours pas perdu mon croc de lait. Elle m’encourage à grignoter, elle espère que cette dent de lait tombe toute seule !



Elles se mettent à table, j’essaie bien de quémander, mais marraine me renvoie à mon fauteuil, même Marie Jo me montre le fauteuil. Bon, bon j’y vais, mais quand même pour une jolie princesse rouquine elles pourraient être plus tolérantes. Surtout que ça sent rudement bon. Tarte au maroilles ce soir au menu, encore du fromage.



Mais elles se pressent pour manger, qu’est ce qu’elles mijotent ?



Oh, oh la vaisselle est en cours, Marraine ferme les volets. Elles prennent des pulls et me demandent si j’ai bien mon manteau. Je vois bien qu’elles se moquent de moi.



Maman Do me remet ma laisse, je n’y crois pas, une nouvelle promenade. C’est vrai, je suis chez Marraine, ce n’est jamais très calme.



Nous voilà, reparti en voiture, Marraine n’est pas très sure de sa route, elles ont dit qu’elles allaient voir la cathédrale en couleur. C’est quoi ?



Pas de place pour se garer, premier passage, elles repèrent un nouveau restaurant. Marraine passera trois fois devant avant de pouvoir se garer. Marie Jo et Maman Do se moquent de Marraine. Elles rient. Moi, je suis un ange, bien collée contre Maman Do à l’arrière de la voiture.



Marraine me prend en laisse, nous partons dans les petites rues et nous arrivons sur une grande place avec une énorme maison devant moi. C’est la cathédrale, Marie Jo est enthousiasme devant ce bâtiment qu’elle trouve magnifique.



Maman Do s’assoit sur les marches, pendant que Marraine et Marie Jo m’emmène vers d’autres quartiers. Marraine montre les vieux quartiers de la ville. Mais il y a bien trop de monde à son goût. Elle me regarde en me disant qu’elle aimerait bien que je sois un bouvier des flandres. C’est bien la première fois qu’elle me reproche ma taille. Elle n’est pas très rassurée dans cette foule avec la nuit qui tombe.



Nous retournons vite retrouver Maman Do, mais elle est entourée de plein de gens. Tout le monde s’est retrouvé là ! Je m’installe sur les genoux de marraine, je serais en sécurité. Je regarde de tous côtés. Les voisins de Maman Do posent une question sur la cathédrale. Marraine répond, les statues s’appellent des gargouilles. Je ne connais pas ce mot. Pour l’instant, j’observe et j’écoute.



Je n’avais jamais vu autant de monde, et tout le monde parle. Qu’est qu’il fait celui là a passé derrière Marraine et Maman Do. Attention, je veille, je ne veux pas qu’on s’approche trop de ma troupe. Je veille sur mes trois accompagnatrices. Marraine a beau dire que je ne suis pas un bouvier, je peux faire chien de garde.



Tout le monde se tait, une voix s’élève dans la nuit. Je reste dans les bras de Marraine, j’écoute de toutes mes oreilles et j’ouvre grand mes yeux, je ne crains rien à droite il y a Maman Do, à gauche Marie Jo et je suis sur les genoux de Marraine. Maintenant, il y a des lumières sur les murs et de la musique. Marie Jo est ravie. Marraine est contente car je lui sers de bouillotte et Maman Do est fière de moi car je suis sage comme une image.



Le spectacle continue, les gens autour de nous s’agitent un peu, je surveille. Personne ne doit passer derrière ma troupe. Je suis très fière sur les genoux de Marraine.



Marie Jo se lève elle est un peu coincée. Du coup, nous pouvons pour aller de l’autre côté de la place. Elles admirent la cathédrale et moi je peux me dégourdir les pattes.



Il est grand temps de rentrer se coucher. Il est très tard et il fait plein nuit et froid. Nous retrouvons la voiture, Marraine retrouve le chemin du retour sans passer devant le nouveau restaurant. A priori, elles sont très contentes de leur soirée, j’entends bien à la façon dont elles parlent.



Marraine range la voiture. Je suis rentrée avec Maman Do, elle prépare ma caisse. Mais Marraine ouvre la porte pour aller fermer le portail. J’en profite pour me faufiler derrière elle.

Maman Do et marraine m’appellent doucement, il est presque minuit. J’en profite je furète dans le jardin. Hourra j’ai trouvé le hérisson. Je reste bien planté devant. Marraine m’a retrouvé, elle m’attrape, elle ne veut pas que j’approche le hérisson qui s’est complètement hérissé. Je risque de me piquer ou de récupérer des puces….



Allez au lit tout le monde, Marie Jo tombe de sommeil. Marraine va dormir dans la salle sur le nouveau canapé, elle sera tout près de moi, chouette.



Pour le principe, je pleure trente secondes, Maman Do avait prévenu. Je suis fatiguée je m’endors. Quelle journée, je suis encore petite, je n’ai pas encore huit mois.



5 heures du matin, je pleure, je gratte. Personne ne bouge. Un quart d’heure, je recommence et j’en rajoute. Marraine me dit de dormir. Non, je continue je gratte la porte. Marraine est bien réveillée, elle se lève. Elle me délivre et m’emmène dans le jardin. Elle me laisse. Je reviens vite à la porte fenêtre, il est trop tôt je ne veux pas rester toute seule dans le jardin. Je la vois, elle vient m’ouvrir. Elle est bien gentille ma marraine. Mais, elle n’a pas l’air bien contente que je l’ai réveillée. Elle se recouche, j’en profite je sorte sur le lit. Elle me descend. Je remonte, elle me redescend. Je recommence doucement. Marraine est très fatiguée, elle me laisse, je peux dormir tout près de marraine, super.





Marraine se lève, il est 7h. Elle m’explique que je ne dois pas monter sur les lits. Elle m’a préparé mon petit déjeuner, mais je préfère manger les croquettes du chat qu’elle vient de faire tomber par terre. Elle prépare le repas de midi. J’en profite pour visiter les 2 autres chambres, Marie Jo et Maman DO dorment. Marraine vient me chercher, elle ne veut que je réveille tout le monde, il est bien trop tôt. Je joue et je la regarde. Voilà, le lit est redevenu canapé, je saute dessus. Non, Marraine ne veut pas, j’ai le droit à un fauteuil, chez Maman Do je peux monter sur le canapé, j’ai même un coussin pour être encore mieux.



Les principes de Marraine, même fatiguée, elle les applique, on ne saute pas, on ne monte pas sur les fauteuils.



Voilà, elle a fini ses préparatifs pour midi et mis la table pour le petit déjeuner, elle va s’occuper de moi, je le sens. Elle s’assoit et me prend dans ses bras. J’ai le droit à un gros câlin. Elle a besoin de se reposer, je l’ai réveillée vraiment très tôt. Blottie dans ses bras, je m’endors. Marraine a vérifié si elle ne trouvait pas ma puce.

Marie Jo nous trouve ainsi a moitié endormies. Elle trouve le tableau charmant. Elles prennent le petit déjeuner. Je saute sur leurs genoux, mais non je n’ai pas le droit. Bon, bon je vais dormir sur le fauteuil. Maman Do a laissé ses chaussures sur le fauteuil. Hop, je pars avec une des chaussures, Marraine gronde et Marie Jo me poursuit. Marie Jo me donne un coup de serviette sur les fesses et me reprend la chaussure. Maman Do n’est pas là pour me défendre. Je remonte sur le fauteuil et je montre ma désapprobation par un regard dont j’ai le secret. Marraine n’a rien dit. Elles finissent de déjeuner. Elles s’habillent et j’en profite pour jouer avec chacune d’elle.



Mais, elles vont partir, et moi je reste ? Et oui, elle me laisse où vont-elles ? Marie Jo m’explique que je ne peux pas venir. Marraine me caresse et vérifie que je ne peux pas faire de bêtises pendant leur absence. Marraine me dit d’être sage et de ne pas réveiller Maman Do.



Elles me laissent derrière la porte, malgré mon regard implorant. Elles ne sont pas parties de 5 minutes que je pleure. Maman Do m’a entendu, elle se lève, je l’ai réveillée Marraine ne sera pas contente.



Je profite de Maman Do pour moi toute seule. Nous déjeunons gentiment. Il faut que je la laisse un peu en paix, elle se réveille doucement, je pourrais jouer après.



Marie Jo et marraine rentrent enfin, elles ont appelé qu’elles seraient un peu en retard. Voilà, j’ai tout mon petit monde.



Elles parlent encore, elles sont très bavardes. Elles mettent la table, Marraine a ramené un gâteau, je le sens.



Elles prennent l’apéritif, elles ne veulent toujours pas je goûte. Marraine n’en revient pas que je sois attirée par l’alcool. Elle ne veut pas non plus me donner un gâteau apéritif. Ah ses principes !



Toujours pas mangé mes croquettes. Maman Do dit que cela m’arrive de ne pas manger pour mieux dévorer le lendemain.



Elles passent à table, toujours pas le droit de participer. Bon, je vais sur le fauteuil, je ferais mon regard de velours à Marie Jo, peut être cédera t elle ? Marraine et Marie Jo ont raconté mon vol de chaussures, Maman Do a approuvé la réprimande et Maman Do a expliqué que j’avais pleuré dès leur départ.



Elles se régalent, tout a une bonne odeur, voilà le fromage, quel fumet ! Mais elles se réservent pour le dessert. Marraine apporte une forêt noire, Maman Do et Marie Jo trouve le gâteau très beau, Marraine coupe le gâteau, il reste une part pour moi ? Non, pas de chocolat pour Everlyn. Bon j’aurais essayé. Elles dégustent.



En prenant le café, elles décident de la suite de la journée. Marraine et Marie Jo vont m’emmener promener. Mais, Marie Jo décide de laver la vaisselle avant. Bon je patiente.





Voilà, j’ai ma laisse. Maman Do va faire la sieste pendant notre promenade. Marraine me guide. Ah oui, j’ai oublié je dois sortir après elle, ne pas tirer. Je reconnais, nous partons vers le parc. Mais je ne vois pas Tocade, ni Zaza. Marraine me dit qu’elles sont en vacances.



Personne, Marraine me lâche, elle a confiance en moi, malgré que Maman Do a dit que j’avais moins de rappel. Je pars, je courre, je renifle, super la liberté. Marraine trouve que je traîne un peu, même si elle est occupée à discuter avec Marie Jo. Oui, je viens, mais à ses pieds quand même. Je les dépasse, je sens une super odeur…. Marraine ne m’a pas à l’œil. Quel bonheur, je roule sur un oiseau mort. Marraine se doute de quelque chose, elle m’appelle. Je fais signe de venir, mais non l’odeur est trop forte j’y retourne et me roule de bon cœur…



Marraine arrive, elle ne crie. Mais je vois à son air qu’elle n’est pas contente, quelques remarques sèches et me voilà attachée. Je n’obéis pas et je fais des bêtises, alors je suis privée de liberté. Marie Jo dit qu’il n’y a plus qu’à me mettre au bain. Marraine lui répond que ce ne sera pas du luxe et elles ont le shampooing anti-puces. Elle s’en occupera au retour de la balade.



Nous continuons la balade, je ne peux plus aller où je veux. Je sens encore une bonne odeur. Il y a un gros tas de fumier au bout du chemin. Marraine veille et Marie Jo lui fait remarquer que je n’y vais pas. Marraine n’est pas dupe, elle sait bien que si j’étais libre …..





Marraine m’emmène vers un bosquet, elle cherche un chat abandonné nourri par les gens du quartier. Il n’est pas là. Nous reprenons la balade vers le retour. Marraine n’est vraiment pas en forme, c’est un petit tour par rapport à nos ballades avec Tocade.



Nous terminons par un tour dans le quartier. Voilà la maison de Marraine, Maman Do dort. Nous ne la réveillons pas. Marraine part vers la salle de bains, visiblement elle a une idée derrière la tête.



Marraine m’emmène dans la salle de bain, j’y vais de temps en temps pour regarder marraine se laver. Elle ferme la porte, se déshabille un peu, rien d’inhabituel. Elle me parle doucement et me prend et m’installe dans le bac de la douche. Elle me parle, elle n’arrête pas, elle me montre l’eau qui coule doucement du pommeau de douche. Elle me laisse, elle a oublié quelque chose, elle revient vite avec la bouteille de shampooing.



Je la regarde, j’ai confiance, je lape l’eau, elle me mouille la queue, je ne bouge pas, elle continue à me mouiller en me parlant, sa voix est rassurante, ce n’est pas désagréable. Elle repose le pommeau et me montre l’eau qui coule. Elle prend la bouteille et dilue le shampooing dans un peu d’eau et m’enduit les poils de son mélange, le dos, la queue, les pattes arrière, le ventre et les pattes avant. Elle me parle, m’enlève mon collier lui aussi a droit au nettoyage, il n’aura plus la bonne odeur de la charogne. Marraine termine par mes oreilles et le haut de ma tête. Je me laisse faire, je ne suis vraiment pas grosse une fois mouillée. Le temps pose est terminé, Marraine avait consulté le mode d’emploi avant m’appliquer le shampooing. Elle fait mousser le produit et reprend le pommeau de douche, elle me parle m’explique qu’il faut bien rincer, pour avoir un beau poil et enlever les puces. Je ne bouge pas, Marraine me retourne pour mieux me rincer. Voilà je sens bon. Elle prend une serviette et commence à me sécher, elle en prend une autre, j’en profite pour me secouer, Marraine m’encourage dans la cabine de douche, je n’éclabousse pas. Elle m’entoure dans ma serviette blanche toute propre et m’emmène dans la salle. Marie Jo me trouve magnifique, Maman Do arrive et découvre que je sors du bain. Oui j’ai été très sage, elle s’inquiète il ne faut que je prend froid. Marie Jo propose de me sécher au séchoir à cheveux. Marraine sort un nouvel engin, elle me montre, cela souffle et lui fait bouger ses cheveux, mais c’est très bruyant. Je me méfie. Je bouge et j’aimerai bien sauter de ses genoux. Me tenir d’une main et l’engin de l’autre, pas facile pour Marraine. Maman Do vient à son secours, elle me prend sur ses genoux, Marraine a ses deux mains pour me sécher. Marie Jo surveille les travaux et donne des conseils. Je me laisse faire, Marraine avait pris soin de démêler mes poils avant de me sécher. Elle ne me brusque pas, Maman Do me parle. Toutes les trois, elles n’arrêtent de dire que je suis encore plus belle.



Un coup de brosse, un coup de peigne, encore un peu de séchoir, je suis presque sèche, Voilà le brushing est fini, elles sont contentes du résultat. Négligemment je pense devant la glace, coup d’œil, mais c’est vrai que mon pelage est plus luisant et ma queue est en panache.



Maman Do s’aperçoit de l’absence de mon collier, Marraine lui explique qu’elle vient de le laver et lui conte l’histoire de l’oiseau mort. Maman Do ne rit pas, elle sait bien qu’il faut me surveiller. Elle reparle de mon éducation, elle compte sur Marraine pour l’aider.



Marraine dit que j’ai le droit à une récompense pour avoir été si sage pendant la douche et le séchage, elle trouve le bon paquet dans mon vanity. Elle range les brosses et le peigne. Elle montre mon joli vanity à Marie Jo et plus particulièrement mon pot de levure. Maman Do lui explique que c’est pour mon poil, Marraine lui dit qu’elles pourraient en prendre pour se donner du punch. Elle autorise Marie Jo à me donner un cachet de levure, j’adore cela et je commençais à m’impatienter.



Je furète à droite à gauche, Marraine s’étonne que je ne sois pas plus calme, normalement un bain ça calme. Maman Do confirme je vais finir par m’endormir. Marraine range la salle de bains et met à sécher les serviettes. Puis, elle revient, elle installe sa machine infernale. Maman Do explique à Marie Jo qu’elle va bien s’amuser avec le jouet de Marraine.



C’est prêt, Marraine me prend dans ses bras, je suis la première à jouer. La machine me salue, elle dit que cela fait longtemps que je suis venue. Etonnement, j’ai perdu 100g. Marraine cherche pourquoi, c’est vrai que je n’ai pas beaucoup mangé depuis deux jours.



Je me couche un peu, suis un peu fatiguée. Marie Jo est initiée au jouet de Marraine. Maman Do et marraine lui expliquent, Marie Jo essaie très sérieusement. Elles rient quand même.



Marraine doit s’occuper du dîner, mais elle surveille Marie Jo en même. Marraine s’installe dans la salle pour préparer une quiche. Elle a sorti du gruyère, elle le rappe. C’est beaucoup plus intéressant que le jouet de Marraine. Super, j’ai le droit à un petit bout. Mais Maman Do dit que je dois faire mes exercices pour avoir le droit au fromage.



Marraine met la quiche au four, puis revient vers moi. Je ne l’ai pas quitté d’une semelle. Et voilà c’est reparti, Everlyn assis, Everlyn pas bougé, Everlyn viens, Everlyn assis. Marraine prend son rôle d’éducateur très au sérieux, Maman Do est contente d’avoir un relais dans mon éducation. J’obéis car je suis accro au fromage. Marraine explique à Marie Jo qui faut faire des exercices régulièrement, mais pas longtemps.



Plus de fromage, je retourne jouet. Marraine change de jeux, elles vont faire un bowling virtuel, Maman Do est très fort à ce jeu. Voilà, elles s’agitent, elles rient et moi je suis dans leurs jambes. Je mange l’os de Zaza. Marraine sort l’apéritif, mais elles ne veulent toujours pas que je goûte, pourtant elles ont l’air de trouver cela bon.



Elles refont une autre partie, la quiche n’est pas cuite, Marie Jo a l’air de bien s’amuser, elle marque des points, je le ressens bien. Marraine entre deux lancers, joue avec moi. C’est bien d’avoir trois dames pour s’occuper de moi, dès que je veux sortir dans le jardin, il y a toujours quelqu’un qui m’ouvre et me fait rentrer.



Il est l’heure de dîner. Marraine essaie de me donner quelques croquettes, mais je lui prends pour lui faire plaisir. Marie Jo trouve la quiche de Marraine très bonne, Maman Do confirme.

Elles finissent de souper, Marie Jo et Maman Do font la vaisselle. Je ne peux toujours pas me mettre dans les pieds de Marraine. Marraine ferme les volets. Je la suis partout.



Marie Jo tombe de sommeil, elle va se coucher. C’est un peu tôt pour Marraine et Maman Do. Elles s’installent dans les fauteuils et elles papotent. Elles me caressent chacune et jouent avec moi.





Mais elles sont fatiguées, il faut aller se coucher. Maman Do va me faire un dernier tour dans le jardin, pendant que Marraine transforme le canapé en lit. Espoir, je vais dormir avec Marraine. Mais non, Maman Do me met dans ma caisse.



Voilà, tout le monde est couché. Il est temps de dormir, je ne pleure même pas.

mercredi 14 juillet 2010

14 juillet



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